De l’article Actualité de l’épistolaire
De l’article Crampe au cerveau
De l’article Frais chié
De l’article Papillon (style ~)
De l’article Se bâtir
« Nous n’avons pas besoin de parler français, nous avons besoin du français pour parler » (André Belleau).
De l’article Actualité de l’épistolaire
De l’article Crampe au cerveau
De l’article Frais chié
De l’article Papillon (style ~)
De l’article Se bâtir

(Une définition du zeugme ? Par là.)
De l’article Anaphore
De l’article Passer proche
De l’article Quelque part
De l’article Rebondir
De l’article Tir télégraphié
Dans les médias sportifs québécois, on hésite parfois à dire d’un athlète qu’il est petit. On dira alors qu’il est diminutif.
L’illustration ci-dessus évoque un «diminutif quart-arrière» — c’est du football. Autre exemple : «Le bouillant et diminutif [Earl] Weaver [c’est du baseball] valait souvent le prix d’entrée à lui seul» (le Devoir, 22 janvier 2013, p. B6).
Si l’Oreille tendue se mettait en tête — elle ne le fera pas — de retrouver l’origine de ce synonyme supposé, elle commencerait par se pencher sur les œuvres complètes de Rodger Brulotte. Qui ne se souvient des innombrables diminutifs joueurs d’arrêt-court — c’est encore du baseball — dont il a commenté les moindres gestes au fil des ans ?
[Complément du 20 mai 2021]
Cet emploi de diminutif est plus ancien que ne le croyait l’Oreille. C’est ce qu’atteste une caricature, tombée par hasard sous ses yeux, signée Paul St-Jean et parue dans le journal la Patrie du 4 février 1945 (p. 75). Elmer Lach, le coéquipier de Toe Blake et de Maurice Richard — c’est du hockey —, serait «le meilleur centre de la N.H.L. [National Hockey League; Ligue nationale de hockey], prouvant que le joueur diminutif a encore une “grande place” dans notre jeu national».

De l’article Bœufs de l’Ouest
De l’article Condescendance linguistique
De l’article Diderot
De l’article Guy Lafleur
De l’article Ressou(r)dre