De l’article Ayoye
De l’article André Belleau (bibliographie)
De l’article Chapleau et le XVIIIe siècle
De l’article Gabriel García Márquez et la titraille
De l’article Jean M. Goulemot
De l’article NDG
« Nous n’avons pas besoin de parler français, nous avons besoin du français pour parler » (André Belleau).
De l’article Ayoye
De l’article André Belleau (bibliographie)
De l’article Chapleau et le XVIIIe siècle
De l’article Gabriel García Márquez et la titraille
De l’article Jean M. Goulemot
De l’article NDG
Depuis plusieurs années, l’Oreille tendue s’intéresse aux représentations de Maurice Richard — c’est du hockey.
En 2006, elle lui consacrait un livre, les Yeux de Maurice Richard. Une histoire culturelle.
La Société internationale de recherche sur le hockey a retenu ce livre parmi ses «15 livres remarquables sur le hockey en français» (la liste complète, en PDF, est ici).
L’Oreille est honorée. Merci.
Référence
Melançon, Benoît, les Yeux de Maurice Richard. Une histoire culturelle, Montréal, Fides, 2006, 279 p. 18 illustrations en couleurs; 24 illustrations en noir et blanc. Nouvelle édition, revue et augmentée : Montréal, Fides, 2008, 312 p. 18 illustrations en couleurs; 24 illustrations en noir et blanc. Préface d’Antoine Del Busso. Traduction : The Rocket. A Cultural History of Maurice Richard, Vancouver, Toronto et Berkeley, Greystone Books, D&M Publishers Inc., 2009, 304 p. 26 illustrations en couleurs; 27 illustrations en noir et blanc. Traduction de Fred A. Reed. Préface de Roy MacGregor. Postface de Jean Béliveau. Édition de poche : Montréal, Fides, coll. «Biblio-Fides», 2012, 312 p. 42 illustrations en noir et blanc. Préface de Guylaine Girard.
On peut lire des poèmes de Benoit Bordeleau dans le cadre de l’excellente exposition «Hochelaga. Montréal en mutation», de Joannie Lafrenière, au Musée McCord Steward.
(Accouplements : une rubrique où l’Oreille tendue s’amuse à mettre en vis-à-vis deux œuvres, ou plus, d’horizons éloignés.)
En 2012, pendant les grèves étudiantes, la façade du siège social d’Hydro-Québec, à Montréal, avait arboré un message d’appui à leur cause : «Les étudiants, ici, / on en a rien / à crisser !»
L’Oreille tendue a déjà évoqué cet épisode du Printemps érable par là, tant l’absence de négation que la présence d’un juron, crisser.
Rebelote hier soir. Des opposants à la transformation d’un édifice montréalais en hôtel y ont projeté un message, sacre à l’appui : «Des CPE câlisse.»
Il est incontestable qu’il s’agit d’édifices québécois.
(Merci à @noradelamontagn pour la photo.)
P.-S.—En effet, ce n’est pas la première fois que l’Oreille parle de murs; voyez ceci.
Depuis des temps immémoriaux, l’Oreille tendue collabore aux Cahiers Voltaire.
Elle a mis en ligne quatre de ses contributions en format PDF:
«Pot-pourri. Barney’s Version», Cahiers Voltaire, 6, 2007, p. 243-244; repris, sous le titre «Les Lumières de Mordecai Richler», dans Nos Lumières. Les classiques au jour le jour, Montréal, Del Busso éditeur, 2020, p. 55-57.
«Pot-pourri. Le Numéro 6 cultive-t-il son jardin ?», Cahiers Voltaire, 12, 2013, p. 303-304; repris dans Nos Lumières. Les classiques au jour le jour, Montréal, Del Busso éditeur, 2020, p. 78-79.
«Pot-pourri. Un chroniqueur voltairien ?», Cahiers Voltaire, 14, 2015, p. 284-285; repris, sous le titre «Pierre Foglia, chroniqueur voltairien ?», dans Nos Lumières. Les classiques au jour le jour, Montréal, Del Busso éditeur, 2020, p. 97-99.
«Pot-pourri. Voltaire, Paris 2019», Cahiers Voltaire, 18, 2019, p. 298-300; repris, sous le titre «Voltaire et Charlie hebdo (II)», dans Nos Lumières. Les classiques au jour le jour, Montréal, Del Busso éditeur, 2020, p. 125-130.
Ce sera tout pour l’instant.