«Le commandant entreprit de baliser la zone mais, très vite, il s’avéra qu’on ne voyait rien dehors. Cela ne servait à rien de tendre l’oreille ou d’essayer de percer la nuit à l’œil nu. La mer avait décidé de revenir opaque et brusque.»
Laurent Gaudé, Eldorado. Roman, Arles, Actes Sud, 2006, 237 p., p. 83.




