Au printemps 2013, pendant les séries éliminatoires de la Ligue nationale de hockey, l’Oreille tendue a publié quotidiennement les entrées de son «Dictionnaire des séries», auquel elle a fait des ajouts au fil du temps.
L’année suivante, elle en tirait un petit livre intitulé Langue de puck. Abécédaire du hockey (voir ici).
Une version revue et augmentée de ce livre paraîtra en octobre, toujours chez Del Busso éditeur, avec une préface d’Olivier Niquet (merci !) et des illustrations de Julien Del Busso (bis).
L’abécédaire a été actualisé et six textes synthétiques ont été ajoutés : «Le gardien et les autres», «Le bal du printemps», «Les temps d’une puck», «La chaise du gestionnaire», «Ce n’est pas fini tant que ce n’est pas fini», «Et maintenant ?»
En primeur : un projet de couverture (ci-dessus); sa quatrième de couverture (ci-dessous).
Pourquoi faut-il que les joueurs de hockey trouvent leur chaise ? Qu’arrive-t-il quand on leur donne du temps et de l’espace ? Trouvez-vous acceptable qu’ils purgent une mineure sur le banc ? Qui est ce l’aveuglette à qui tant de passes sont destinées ?
En 2014, avec Langue de puck, Benoît Melançon proposait un premier périple dans les mots du hockey. Il a séduit la critique et les lecteurs, amateurs ou pas.
Aujourd’hui, plutôt que de couper son banc, il offre une version revue et augmentée de son Abécédaire du hockey. Il continue à marier sa passion pour les mots à son amour du sport.
Professeur émérite de l’Université de Montréal, Benoît Melançon est essayiste et blogueur (oreilletendue.com). Dix-huitiémiste de formation, il travaille actuellement sur les questions de langue au Québec et sur les rapports du sport et de la culture. Lauréat du prix Georges-Émile-Lapalme, la plus haute distinction du gouvernement du Québec en matière de rayonnement et de qualité de la langue française, il patine sur la bottine.