Durant les grèves étudiantes québécoises de 2012, l’Oreille tendue a porté son regard vers les pancartes des manifestants (en images • en mots • en paroles).
Plus récemment, ici et là, elle s’est interrogée sur la place du latin dans la culture qui l’entoure.
Un texte de deux de ses collègues dix-huitiémistes lie ces choses :
Au refus de négocier que leur signifie le gouvernement, les associations étudiantes des collèges et des universités opposent, le 22 mars, 200 000 protestataires défilant dans les rues de Montréal : «Une espèce menacée : Alumni quebecenses», écrit-on plaisamment sur certaines affiches.
Voilà de futurs diplômés québécois menacés mais cultivés.
Référence
Bernier, Marc André et Geneviève Lafrance, «Printemps érable au Québec : les cent jours du mouvement étudiant», Bulletin de la Société française d’étude du dix-huitième siècle, troisième série, 85, juillet 2012, p. 1-2.
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