Accouplements 149

Gousses d’ail

(Accouplements : une rubriquel’Oreille tendue s’amuse à mettre en vis-à-vis deux œuvres, ou plus, d’horizons éloignés.)

Les pouvoirs salvateurs de l’ail à travers les âges.

Hardy, Siméon-Prosper, Mes loisirs, ou Journal d’événemens tels qu’ils parviennent à ma connoissance (1753-1789). Volume VII (1781-1782), Paris, Hermann, «Collections de la République des lettres», 2019, 705 p. Sous la direction de Pascal Bastien, Sabine Juratic, Nicolas Lyon-Caen et Daniel Roche. Présentation de Hans-Jürgen Lüsebrink. (Merci à Martine Sonnet.)

«Du vendredi cinq juillet : Espèce d’épidémie répandue à Paris après avoir circulé dans l’Europe.

Ce jour une maladie qu’on prétendoit avoir circulé dans presque toute l’Europe, que les uns appelloient la Coquette du Nord, comme ayant commencé par la Russie, d’autres la Générale, et d’autres encore, la Royale ou la Lévite; consistant en rhume, mal de gorge et fiebvre, mais qui par bonheur n’étant pas intraitable, moissonnoit peu d’individus, se faisoit sentir dans notre capitale, au point qu’il n’existoit pas, pour ainsi dire, de maison où l’on n’entendît quelqu’un se plaindre d’en être tourmenté. Bien des gens avoient l’esprit frappé qu’une sorte de contagion se répandoit dans l’air et portoient en conséquence par précaution des gousses d’ail dans leurs poches.»

Arsenault, Mathieu, la Morte, Montréal, Le Quartanier, «série QR», 141, 2020, 131 p.

«Son imaginaire corporel était baroque, enthousiaste, désinhibé. Son tramp stamp, sa vaginite, les gousses d’ail qu’elle se mettait dans le vagin pour se soigner» (p. 18).

 

[Complément du 1er avril 2020]

Épistoliers d’aujourd’hui

Projet «Lettre à toi», Québec, 2017-2018

L’Oreille tendue n’a pas peur de se répéter. Depuis plus de 20 ans, elle raconte à qui veut l’entendre (ou pas) que la forme épistolaire, malgré le discours ambiant, n’est pas appelée à disparaître. On écrit moins de lettres qu’auparavant ? Évidemment. On va cesser d’écrire des lettres ? Pas du tout. Ce qui a changé, c’est le contexte dans lequel l’épistolarité paraît s’imposer comme la forme de communication la plus appropriée. Pour le dire dire d’un mot : devant la mort, par exemple, la lettre garde tout son poids.

Des exemples ? Quand meurent le chanteur John Lennon en 1980, la princesse Diana en 1997 ou le joueur de hockey Maurice Richard en 2000, leurs admirateurs leur dressent des autels spontanés où ils déposent des objets et par lesquels ils s’adressent à leur idole disparue : on écrit à un mort, auquel on confie sa peine. Ce n’est donc pas d’hier qu’on se livre à cette forme d’hommage, mais cela continue à se faire, en cette ère du tout-numérique (dit-on). Quand un train déraille au cœur de Lac-Mégantic le 6 juillet 2013, faisant 47 morts, l’église de cette petite ville québécoise réserve un espace où punaiser des courts messages destinés tant aux survivants qu’aux victimes. On fera la même chose en Corée du Sud, au moment du naufrage du Sewol le 16 avril 2014 (plus de 300 disparus), et on l’avait fait lors de la tuerie de l’école états-unienne Sandy Hook en 2012. À la mort de l’écrivain Gabriel García Márquez (2014), on met à la disposition de ses admirateurs une murale à Barcelone : les témoignages manuscrits affluent. Il est manifestement des moments où le courriel, le SMS, Twitter, Instagram, Snapchat et Facebook ne suffisent pas; il faut revenir à l’écriture manuscrite, et à une écriture manuscrite partagée.

Cela a encore été le cas dans la ville de Québec l’an dernier. Après un attentat dans sa grande mosquée, le 29 janvier 2017, des citoyens se sont mobilisés pour lutter contre l’intolérance. Ils ont d’abord organisé une vigile de solidarité en servant des réseaux sociaux. Puis autre chose leur est apparu nécessaire.

À la suite de la veillée, le groupe s’est réuni de nouveau pour en prolonger l’effet. Est née alors l’idée d’envoyer des lettres de réconfort aux familles des victimes et à leurs proches. Baptisée «Lettre à toi», cette initiative a permis de recueillir au sein du public plus de 350 lettres manuscrites en provenance de partout. «Malgré mes faibles moyens, je te promets de mettre tout en œuvre pour faire tomber autour de moi les préjugés qui divisent et pour bâtir les ponts qui nous unissent», peut-on lire dans l’une d’entre elles. «S’il te plaît ne perds pas espoir.»

«Les lettres ont été photocopiées et on a fait une quinzaine de cartables, raconte Annie Demers-Caron. On les a distribués dans des mosquées, mais aussi dans des lieux non religieux [comme des organismes communautaires]. Parce qu’on l’oublie, mais il y a seulement 40 % des personnes de confession musulmane qui fréquentent les mosquées.»

Le groupe a aussi conçu 11 boîtes à partir des 100 plus belles lettres à l’intention des familles des victimes et des blessés. Certains les ont reçues tout récemment. «L’idée, c’était de faire perdurer la solidarité dans le temps», résument Annie et Tommy [Bureau] (Isabelle Porter, «Des lettres pour panser les plaies», le Devoir, 20-21 janvier 2018, p. B2).

La lettre reste utile.

Illustration : détail de la photo de Renaud Philippe qui accompagnait l’article d’Isabelle Porter dans le Devoir.

P.-S.—Ce texte reprend un passage d’un texte publié par l’Oreille il y a quelques années : Melançon, Benoît, «Le cabinet des curiosités épistolaires», Épistolaire. Revue de l’AIRE (Association interdisciplinaire de recherche sur l’épistolaire, Paris), 40, 2014, p. 257-259.

 

[Complément du 26 novembre 2020]

Sur Twitter, que suggère la (future) vice-présidente des États-Unis, Kamala Harris, en ce jour de l’Action de grâce (Thanksgiving) ? D’écrire, enfin, la lettre dont on ne cesse de différer l’écriture.

 

[Complément du 5 décembre 2020]

L’Oreille tendue est citée dans le Devoir du jour, au sujet de l’envoi des cartes de Noël et de ce que cela révèle de la lettre aujourd’hui : «Dès qu’une tragédie se produit, qu’il s’agisse de la mort de la princesse Diana ou celle de Lac-Mégantic, les gens ont le réflexe d’écrire des lettres […]. Et disons-le : la pandémie actuelle est sans aucun doute LA circonstance spéciale, d’autant que les gens se voient beaucoup moins.»

Dans la Presse+, au même moment, elle découvre l’existence du projet «Le moment de votre lettre», «ce courrier du cœur pandémique» : «Lancée en avril dernier, l’initiative est à la fois toute simple et lumineuse : en ces temps si difficiles, il s’agit de permettre à des personnes âgées esseulées de recevoir gratuitement chaque semaine, pendant un an, une lettre rédigée pour elles par des artistes québécois.» Cela circule par courriel, photocopieuse, Facebook.

CQFD.

Chronique mammaire

Le français populaire du Québec a plusieurs mots pour désigner la poitrine féminine. Nous avons déjà vu, Beau dommage à l’appui, djos.

On entend parfois aussi boules.

Dans un avion qui l’amenait à Paris, l’Oreille tendue est tombée sur l’offre cinématographique suivante :

Annonce de film, vol Air transat pour Paris, 12 novembre 2016

Cette «paire» de «boules» en a évoqué tout de suite une autre pour elle. L’Oreille aurait-elle l’esprit mal tourné ?

 

[Complément du 18 mai 2021]

Autre synonyme local : toton, comme dans téton ou teton.

Exemple romanesque : «— Terre de nos aïeux ! Ton front est sein [sic : pour ceint]… — Totons ! dit Fontaine, juste assez fort pour que ses voisins immédiats l’entendent. — De fleeeeurons glorieux !» (Jean-François Vaillancourt, Esprit de corps, p. 39)

Par métonymie, dans certaines régions du Québec, on associe ce terme au bar de danseuses (plus ou moins) nues : «On va aux totons» (Fabien Cloutier, Cranbourne).

Vous voulez marier lutte contre le cancer du sein et port du masque en temps de pandémie ? Proposez à vos clients le Masque rose. Slogan : «Toton masque ?» Ça ne s’invente pas. (Merci, en quelque sorte, à la Presse+.)

Le masque rose, contenant de masques, 2021

P.-S.—Il est aussi un toton sur un des barreaux de l’échelle de la bêtise.

 

[Complément du 3 juin 2022]

Quand Alexandre Castonguay et Nicolas Lauzon, dans le texte de théâtre Un coin jeté dans l’nord (2022), parlent de «calendriers avec des boules» (p. 33), ils ne pensent pas à Noël, mais à des personnes du sexe dévêtues à des fins chronologiques et publicitaires. C’est encore à la gorge que renvoient les «boules refaites» (p. 63).

 

Références

Castonguay, Alexandre et Nicolas Lauzon, Un coin jeté dans l’nord, Montréal, Atelier 10, coll. «Pièces», 30, 2022, 91 p. Ill. Précédé d’un «Mot des auteurs» et suivi de «Contrepoint. Sacré cœur d’orignal» par Dali Giroux.

Cloutier, Fabien, Scotstown et Cranbourne, Montréal, TVA Films et Encore management, DVD, 2015.

Vaillancourt, Jean-François, Esprit de corps. Roman, Montréal, Le Quartanier, «série QR», 149, 2020, 302 p.

Allez !

 

(Fausse) Plaque minéralogique du Québec

Outre Atlantique, pour encourager quelqu’un, on lui dit «Allez !».

Au Québec, on préfère souvent «Envoie !» — mais avec une prononciation du cru. Dès lors se pose la question de la graphie.

L’Oreille tendue vous propose quelques possibilités.

«Tire ! Enwouèye, tire !» (Michael Delisle, le Feu de mon père, p. 13)

«enouaille» (Girerd)

«Aweille les tatas-payez ! et juste à temps pour les vacances d’été :)) https://www.youtube.com/watch?v=faOMHYCB_QE … #gas» (@alagacedowson)

«En tout cas, j’ai souvent entendu mes parents me dire : “awouèye, move-toué l’cul !”» (une lectrice de l’Oreille)

Awaye Dzigidzine, bande dessinée de Suicide et Caron

Tant de questions, si peu d’heures.

 

[Complément du 17 juillet 2014]

Deux autres graphies, venues de la bande dessinée : avouaill (Kesskiss passe Milou ?, p. 54) et avouaille (Kesskiss passe Milou ?, p. 56 et Tintin et son ti-gars, p. 17).

 

[Complément du 24 juillet 2014]

Pour Albert Chartier (Onésime, mars 1956) : «Envoye».

 

Maurice Richard dessiné par Albert Chartier, mars 1956

 

[Complément du 25 juillet 2014]

Dans la bande dessinée Motel Galactic 2 de Francis Desharnais et Pierre Bouchard : «enweille» (p. 36).

 

[Complément du 26 juillet 2014]

Suggestion du Spornographe : «Enwaille estie, rentre-la.»

 

[Complément du 14 septembre 2014]

Chez Vickie Gendreau, dans le roman Testament (2012) : «Enwèye, pine-moi contre la table, Dominic» (p. 140).

 

[Complément du 19 septembre 2014]

Par-delà les ans, Hervé Bouchard (2014) rejoint Albert Chartier (1956) : «J’ai appris sans chaise, sans même le bâton, au son de l’envoye du grand chef montreur» (p. 14).

 

[Complément du 28 septembre 2014]

Il y a aussi aweye.

Et anweille.

 

[Complément du 10 mai 2015]

Chez le romancier William S. Messier : «Envoueille, le frère ! Iglou, iglou !» (p. 67)

 

[Complément du 26 septembre 2018]

Nouvelle graphie, gracieuseté d’une publicité publiée dans la Presse+ du 23 septembre.

«awaille», publicité, la Presse+, 23 septembre 2018

 

[Complément du 26 mars 2019]

S’il faut en croire la brochure le Bon Parler français (1937), il fut un temps où l’on disait «Envoille» (p. 5). Les Frères de l’Instruction chrétienne le déploraient.

 

[Complément du 19 mars 2020]

Pour cause de coronavirus, le premier ministre du Québec François Legault tient une conférence de presse quotidiennement. Aujourd’hui, pour insister sur la nécessité pour tout un chacun de rester chez soi, il a cité une chanson de Jean-Pierre Ferland, «Envoye à maison».

Sur les réseaux sociaux, les graphies — outre celles relevées ci-dessus — pullulent : awèye (avec l’accent grave), eweille, envouèye, envoéy, enwoye, etc.

 

[Complément du 26 mars 2020]

Graphie du jour : awoueille.

 

[Complément du 3 juin 2021]

Sous la plume du dessinateur Garnotte, dans le quotidien le Devoir, le 27 mai 2008 : «Enwoeïlle le gros !…»

 

[Complément du 24 décembre 2023]

Dans le Devoir des 21-22 octobre 2023 : «Avoyèye, mon champion !» (p. 19)

 

[Complément du 2 janvier 2024]

En deux mots ? Pourquoi pas : «En weille don» (Plume, p. 128).

 

Références

Le Bon Parler français, La Mennais (Laprairie), Procure des Frères de l’Instruction chrétienne, 1937, 24 p.

Bouchard, Hervé, Numéro six. Passages du numéro six dans le hockey mineur, dans les catégories atome, moustique, pee-wee, bantam et midget; avec aussi quelques petites aventures s’y rattachant, Montréal, Le Quartanier, «série QR», 80, 2014, 170 p.

Chartier, Albert, Onésime. Les meilleures pages, Montréal, Les 400 coups, 2011, 262 p. Publié sous la direction de Michel Viau. Préface de Rosaire Fontaine.

Delisle, Michael, le Feu de mon père. Récit, Montréal, Boréal, 2014, 121 p.

Desharnais, Francis et Pierre Bouchard, Motel Galactic. 2. Le folklore contre-attaque, Montréal, Éditions Pow Pow, 2012, 101 p.

Gendreau, Vickie, Testament. Roman, Montréal, Le Quartanier, «série QR», 60, 2012, 156 p.

Giard, Luc, les P’tits Tintins à Luc Giard. Kesskiss passe Milou ?, Montréal, Éditions du phylactère, coll. «Album Tchiize», 3, 1988, 62 p.

Giard, Luc, les P’tits Tintins à Luc Giard. Tintin et son ti-gars, Montréal, Éditions du phylactère, coll. «Album Tchiize», 5, 1989, 51 p.

Girerd, Son honneur, Montréal, La Presse, 1981, [s.p.].

Messier, William S., Dixie. Roman, Montréal, Marchand de feuilles, 2013, 157 p. Ill.

Plume. Chansons par toutes sortes de monde, Moult éditions, 2023, 189 p. Ill.

Suicide, Richard et Caro Caron, Awaye Dzigidzine, Montréal, Éditions Beaulieu, 1996, 20 p. Bande dessinée.

Tasse «Awaye !», Musée McCord, Montréal, juillet 2017

 

Le salon du bar

«un bar, reprends-moi si je me trompe,
c’est toujours grosso modo un local
avec des tables et des chaises
et un individu qui apporte à boire»
François Blais, Iphigénie en Haute-Ville. Roman à l’eau de rose

On connaît le bar ouvert, ce signe d’excès. Exemple : «Un “bar ouvert”, dénonce Parizeau» (la Presse, 5 mai 2012, cahier Affaires, p. 4).

Parmi les autres variétés de bar sans alcool, il y a le bar à salade, le bar laitier, le bar à tapas, le bar à soupes, le bar à sushis, le gaz bar (comme dans le film Gaz bar blues), etc.

Sur Twitter, @Liboiron annonce la création, par Polaroid, d’un bar à photos. Il n’est pas content.

 

[Complément du 10 janvier 2013]

Le même @Liboiron signale à l’Oreille tendue l’existence de bar à lunettes et de bar à ongles.

 

[Complément du 16 décembre 2014]

Sur Twitter, @revi_redac attire l’attention de l’Oreille sur un bar à bricolage situé sur le Plateau Mont-Royal. On n’arrête pas le progrès.

 

[Complément du 19 décembre 2014]

Merci, en quelque sorte, à @Hortensia68 de nous faire découvrir le bar à oxygène.

 

[Complément du 31 décembre 2014]

Nouvelle variété, gracieuseté de la Presse+ du jour :

Bar à savon

 

[Complément du 16 mars 2015]

Grâce au Devoir (14-15 mars 2015, p. D2), l’Oreille tendue découvre qu’il existe à Paris, passage Choiseul, un bar à sieste, le Zen.

 

[Complément du 18 mars 2015]

Sur Twitter, s’amusant à revamper le livre (#rebrandingthebook), @Fabricemg écrit : «Je propose l’expression “bar à livres” au lieu de “bibliothèques”.» Sera-t-il entendu ?

 

[Complément du 1er avril 2015]

Oui, il a été entendu. En Belgique.

 

[Complément du 2 avril 2015]

Bar à bijoux, Montréal

 

Un bar à bijoux ? Un bar à bijoux.

 

[Complément du 12 avril 2015]

En excursion aujourd’hui dans le 450, l’Oreille a découvert un nouveau type de bar : le bar à confitures. Si si.

 

[Complément du 16 avril 2015]

Un bar à informations ? De ce côté.

 

[Complément du 18 mai 2015]

Il y avait, donc, le bar laitier : «établissement où l’on vend surtout des produits laitiers glacés (crème glacée, yogourt glacé, barbotine, etc.)», selon le dictionnaire en ligne Usito.

Il y a dorénavant, rue Notre-Dame Ouest, à Montréal, le Bar à lait Natrel par Java U : «après avoir refait l’emballage et revu la communication de Natrel, on a maintenant un lieu physique qui est plus qu’un lieu corporatif. C’est un espace de vie»; «Un tel bar donne une pertinence à Natrel», dit une de ses conceptrices dans la Presse+.

On peut penser que ces deux types de bar ne visent pas le même public.

 

[Complément du 18 juillet 2015]

Les dentistes français, dit la Presse du 27 novembre 2011, n’aiment par les bars à sourire. (Merci à @sboism.)

 

[Complément du 22 juillet 2015]

Cela n’est pas propre au français : «16 Incredible Library Bars In London», titre BuzzFeed le 13 avril 2015.

 

[Complément du 29 juillet 2015]

Dans les bars, toutes les textures sont représentées. À Montréal, il y a, donc, un Bar à beurre.

 

[Complément du 1er août 2015]

Une tente, un bar — à tresses — au festival Osheaga 2015 (via @daphneehackerb).

Bar à tresses, festival Osheaga, 2015

[Complément du 6 août 2015]

Il y a un bar à tresses ? Il y aura donc un bar à chignons (et à Paris).

 

[Complément du 7 août 2015]

L’excellent @machinaecrire est en périple états-unien. Il tombe sur ceci, à Portsmouth, au New Hampshire : «un bar à cil(s)», note-t-il. (Merci.)

Bar à cil(s), Portsmouth, New Hampshire

 

[Complément du 10 août 2015]

À 75 kilomètres de Montréal, un Bar à beauté urbain, dans lequel il y a un Bar à coloration. Que demander de plus ? C’est presque trop beau pour être vrai. (Merci à @machinaecrire.)

Bar à beauté urbain, Joliette, 2015

 

[Complément du 20 août 2015]

En 2016, un bar à desserts doit ouvrir à Nantes. Réaction de @MmeB_ :

 

[Complément du 22 août 2015]

Récolte du jour : à mozzarella, à denims (merci à @CathRheaume).

 

[Complément du 2 septembre 2015]

Extension (capillaire) du bar — à cheveux, à mise en plis — dans la Presse+ du jour.

Deux bars dans la Presse+ du 2 septembre 2015

 

 

[Complément du 3 septembre 2015]

Vous cherchiez un bar à poèmes ? Ne cherchez plus : barapoemes.net.

 

[Complément du 30 septembre 2015]

Grâce à @NicolasLontel (et au Figaro), découvrons le bar à céréales, le bar à gin et le bar à brioches.

 

[Complément du 2 octobre 2015]

L’Oreille ne veut pas pinailler, mais, dans bar à burger, elle mettrait une s à burgers. (Merci à notre taupe au resto-bar du Marriott à l’aéroport Pierre-Elliott-Trudeau de Montréal.)

Menu du resto-bar? du Marriott à l’aéroport Pierre-Elliott-Trudeau, Montréal

 

 

[Complément du 18 octobre 2015]

Une petite dégustation de yogourt avec ça ?

Bar à yogourt

(Merci à @PimpetteDunoyer.)

 

[Complément du 8 novembre 2015]

La thématique du jour : le cru, d’où le raw bar.

Dès le 9 novembre, le «raw bar» fait son entrée officielle au restaurant Ikanos, où le chef propriétaire, Constant Mentzas, s’amuse à réactualiser la cuisine grecque. En plus des mezzés et des grillades, l’endroit offrira désormais des assiettes de «cru», en version nature ou dressées avec des garnitures inventives imaginées par le chef (la Presse+, 7 novembre 2015).

 

[Complément du 3 décembre 2015]

Que diriez-vous d’un bar à chocolat chaud personnalisé ?

 

[Complément du 19 décembre 2015]

Un bar à pizza ? Mais bien évidemment. (Merci à @NicolasLontel.)

 

[Complément du 28 décembre 2015]

Alerte : «Les bars à fromage fondent sur la France», dixit le site 20 minutes du jour. (Merci à @Hortensia68.)

 

[Complément du 24 février 2016]

Un bar à mots ? La société Radio-Canada aura le sien au 37e Salon du livre de l’Outaouais.

 

[Complément du 2 mars 2016]

Dès 2011, les Bibliothèques de Montréal avaient leurs bars à lectures.

 

[Complément du 17 mars 2016]

Paris a son bar à céréales. On l’en félicite. (Merci à @Hortensia68.)

 

[Complément du 20 mars 2016]

À l’émission les Appendices, à Télé-Québec, on a inventé le bar à toux. (Merci à @revi_redac.)

Les Appendices, «Bar à toux», Télé-Québec

[Complément du 8 avril 2016]

À Tokyo, un bar à… hérissons. (Merci à @msonnet.)

 

[Complément du 17 avril 2016]

Vous voulez boire et jouer en même temps ? Le barcade est pour vous.

«Barcade», la Presse+, 17 avril 2016

[Complément du 26 avril 2016]

Un bar à savons, c’est bon. Avec, en plus, un bar à l’huile d’olive «en région», c’est béton. (Merci à @revi_redac.)

 

[Complément du 30 avril 2016]

Quelqu’un a voulu faire plaisir à l’Oreille en ouvrant près de chez elle un bar à taco. Merci.

Taco bar, avenue Monkland, Montréal, 29 avril 2016

 

[Complément du 1er mai 2016]

À huîtres, mais à New York. (Merci à @msonnet.)

Bar à huîtres, Columbus Avenue, New-York, 1er mai 2016

[Complément du 3 mai 2016]

Merci à Sophie Dubois pour les bars du jour : le à styles et le à regard(s) (au singulier ou au pluriel, c’est selon).

 

[Complément du 8 mai 2016]

Le bar à charcuteries paraît d’invention plus récente que le bar à pain (merci à @julienmori7). Il va de soi que les deux peuvent se marier agréablement.

Bar à charcuteries, la Presse+, 7 mai 2016

Bar à pain, restaurants Pacini

 

[Complément du 16 mai 2016]

Rue d’Assas, Paris 6e, peut-on aussi boire ? (Merci à @msonnet.)

Bar à manger, rue d’Assas, Paris 75006

[Complément du 18 mai 2016]

L’Oreille tendue connaissait le bar à lunettes par ouï-dire. Grâce à Yvon Brisson (merci), elle en trouve un ici.

 

[Complément du 24 mai 2016]

Un à tarte, peut-être ? (Via @PeterSokolowski.)

Bar à tarte (Pie Bar), aux États-Unis

[Complément du 30 mai 2016]

Ci-dessus, en date du 30 septembre 2015, il était question, pour la France, d’un bar à gin. Montréal en compte aujourd’hui… trois.

Trois bars à gin montréalais

 

[Complément du 13 juin 2016]

L’Oreille tendue a déjà l’occasion de dire du bien du Guide des bars et pubs de Saguenay (2016) de Mathieu Arsenault (c’est ici). Le quotidien le Devoir, abordant l’«imaginaire du débit de boissons en littérature en poésie» et discutant ce livre, titre, sous la signature de Dominic Tardif, «Allons danser au bar des altérités» (p. F1).

 

[Complément du 29 juin 2016]

Nous connaissions déjà, à Paris, le bar à céréales. Slate.fr annonce l’ouverture, à New York, d’un «bar à céréales haut de gamme». On n’arrête pas le progrès. (Merci à @ChroniquesTrad pour le lien.)

 

[Complément du 7 juillet 2016]

À poutine ? À poutine. (Merci, en quelque sorte, à @nicolasdoire.)

Bar à poutine, Montréal, juillet 2016

[Complément du 14 juillet 2016]

À macaroni au fromage ? Mais bien sûr.

Bar à macaroni au fromage

 

[Complément du 1er août 2016]

À sourcils ? Pourquoi pas. (Merci, en quelque sorte, à Élise Melançon.)

Bar à sourcils

 

[Complément du 1er août 2016]

À pics, rue de l’Arbalète, Paris 5e, quoi que soient les pics. (Merci à @msonnet.)

Bar à pics, rue de l’Arbalète, Paris 5e

 

[Complément du 2 août 2016]

Un bar, c’est pour les liquides, non ? D’où, bien sûr, ce bar à douches, à La Rochelle. (Merci à notre délégué québecquois.)

Bar à douches, La Rochelle, 2016

 

[Complément du 5 août 2016]

À Montréal et à épilation, titre la Presse+ du jour.

 

[Complément du 8 août 2016]

Bar à style ou Style bar ? (Merci à Yvon Brisson.)

Style bar, Montréal, 2016

 

[Complément du 20 août 2016]

À Nutella ? Non. Nutellabar, en persan dans le texte.

Nutellabar, Téhéran (la Presse+, 20 août 2016)

 

[Complément du 23 septembre 2016]

L’Oreille connaissait, de réputation, le bar à ongles. En voici un exemple, gracieuseté de sa sœur.

 

[Complément du 4 octobre 2016]

Un bar à ramen, est-ce une raménothèque ? (L’Oreille remercie son beau-frère pour la photo, prise rue Bishop, à Montréal.)

Bar à ramen, rue Bishop, Montréal

 

[Complément du 5 octobre 2016]

La totale,
avenue du Mont-Royal.

Avenue du Mont-Royal, 4 octobre 2016

 

[Complément du 11 octobre 2016]

Double récolte de bars animaliers — «Après les bars à chats, les bars à chouettes» —, sans compter le bar à chicha. (Merci à @mhvoyer.)

 

[Complément du 12 octobre 2016]

Un (autre) bar à soupes, rue René-Lévesque à Montréal. (Merci à @YvonBrisson.)

Bar à soupes, rue René-Lévesque, Montréal, octobre 2016

 

[Complément du 15 octobre 2016]

À Montréal, un bar à houmous; en Chine, dans un Club Med, un bar à nouilles : découvertes du jour.

 

[Complément du 19 octobre 2016]

Le «premier bar à champignons du Canada» ? Croyons ses concepteurs. (Merci à @revi_redac.)

 

[Complément du 27 octobre 2016]

Dans le bon vieux temps, on allait dans un bar pour faire la fête, modestement ou moins. Maintenant, il existe, à Amsterdam, un bar à gueule de bois. On n’arrête pas le progrès. (Merci à @revi_redac.)

 

[Complément du 7 novembre 2016]

En vitrine, avenue du Mont-Royal, les bars font la paire.

Bar à bougies et bar à thé

 

[Complément du 12 décembre 2016]

À fromages et à la télévision québécoise. (Oui, c’est un zeugme.) (Et merci à Élise Melançon.)

Bar à fromages

 

[Complément du 29 décembre 2016]

Pas de vacances des Fêtes pour les bars ni pour les informateurs de l’Oreille tendue.

Merci à @machinaecrire.

Bar à dents

Et double merci à Élise Melançon.

Bar à vestons

Bar à vinaigrettes

 

[Complément du 2 janvier 2017]

Merci à @msonnet, qui passait rue Saint-Louis-en-l’Île à Paris.

Bar à champagnes, Paris, 2016

 

[Complément du 28 janvier 2017]

Vous assistez à son mariage ? Vous avez «envie d’enlever [vos] talons en cours de soirée» ? Claudine a tout prévu : un bar à gougounes vous attend. Il suffisait d’y penser. (Merci à Élise Melançon et à la Presse+.)

 

[Complément du 12 février 2017]

Après l’avenue (montréalaise) du Mont-Royal, le quatrième étage du BHV (parisien). (Merci à @msonnet.)

Bar à bougies, BHV, Paris, février 2017

[Complément du 23 février 2017]

Bar à vinyle, rue de Bleury, Montréal, 23 février 2017

Un bar avec un seul vinyle ? C’est un peu triste, non ? (Vu rue de Bleury, à Montréal. Merci à nos sources conjugales.)

 

[Complément du 5 avril 2017]

Lettre ouverte dans le Devoir du jour : «Le parc Jean-Drapeau : un bar à profits pour le privé» (p. A8).

 

[Complément du 8 avril 2017]

Rue Notre-Dame Ouest, à Montréal, le Arthurs Nosh Bar vous accueille. Nosh ? «Nosh veut tout simplement dire “bouffe” en yiddish, un mot familier et affectueux pour parler de nourriture pas compliquée», explique la Presse+ du jour. Le Nosh Bar est donc un bar à bouffe. Un restaurant, bref.

 

[Complément du 13 avril 2017]

Brooklyn a son bar à avocats (ce n’est pas une faculté de droit) et il marche très bien. (Merci à Christiane Campagna, via Facebook.)

 

[Complément du 19 avril 2017]

L’Oreille tendue s’intéresse surtout aux bars contemporains. On aurait cependant tort de croire que le bar est une invention récente. À Saint-Jean (Québec) existait déjà un bar du disque (et non pas à disque, il est vrai) au début des années 1950 (le Canada français, 31 mai 1951, p. 1).

Bar du disque, Saint-Jean-Québec, publicité, 1951

 

[Complément du 19 avril 2017]

Les bars vous stressent ? Ce bar à méditation parisien est peut-être pour vous. (Merci à @danielharv1984.)

Bar à méditation, Paris, 2017

[Complément du 4 mai 2017]

Il allait de soi que les écrivains s’y mettraient : «Justine Biebar prescrivait, déconseillait, conférençait. Ainsi avait-elle décrété qu’il était très bon pour la santé de courir les boutiques, du moment où le soleil atteignait son méridien jusqu’à ce que sa base soit grignotée par l’horizon. Entre deux achats, on faisait une halte dans les bars abrités par les palmiers artificiels et des parasols thermo-protecteurs : des bars à ongles, à sourcils, à cheveux mais aussi des bars à édulcorants, à laxatifs, à coupe-faim, à compléments alimentaires. On pouvait faire la queue pendant des heures devant le bar à Barbie drug, où l’on se shootait debout avec une hormone synthétique obtenue à partir de MSH (Melanocyte Stimulating Hormone) boostant les cellules responsables de la pigmentation de la peau. Un coupe-faim aphrodisiaque qui permettait de bronzer en accéléré. Pour celles qui rêvaient au contraire d’un teint de poupée de cire, il y avait les bars à produits dépigmentant et à crèmes éclaircissantes» (Eli Flory, Une poupée au pays de Daech, Paris, Alma Éditeur, 2016, 128 p., p. 28-29). Merci à Alex Gagnon pour la citation.

 

[Complément du 14 avril 2017]

Qu’est-ce qui est mieux qu’un bar ? Un bar gourmand. (Celui-ci se trouve à Québec.)

Tapas & liège. Bar gourmand, Québec, mai 2017

 

[Complément du 19 juin 2017]

À coussins ? Pourquoi pas, répond le Bazar de l’Hôtel de Ville (Paris) ! (Merci à @msonnet.)

Bar à coussins, BHV, Paris, juin 2017

[Complément du 12 juillet 2017]

@ jupes ? Oui, rue des Archives à Paris. (Merci à @msonnet.)

Bar à jupes, rue des Archives, Paris, juillet 2017

[Complément du 2 août 2017]

Qu’est-ce que ce bar de beauty repéré par Élise Melançon ? La question mérite d’être posée.

Bar de beauty, juillet 2017

 

[Complément du 2 août 2017]

Coup double, gracieuseté de Catherine Rhéaume : non seulement un bar à vestons, mais des vestons urbains. C’est trop de joie.

Un bar à vestons urbains

 

[Complément du 7 août 2017]

À sourcils (brow) ? Peut-être. (Avenue Monkland, à Montréal.)

Le brow bar, avenue Monkland, Montréal, août 2017

 

[Complément du 27 août 2017]

Vous aimez le thé ? Le bar à chaï devrait vous plaire. (Merci à @mcbeaucage.)

Bar à chaï, août 2017

[Complément du 18 septembre 2017]

En direct de Finlande, via @JeanPhiPayette, le bar à beignets (portatif).

 

[Complément du 10 novembre 2017]

Il y a lentilles et lentilles. (Commentaire de @liminaire : « Un bar à lentilles : pour consommer à l’œil ? Rue des Lavandières Sainte-Opportune, Paris 1er.»)

Bar à lentilles, Paris, novembre 2017

[Complément du 27 novembre 2017]

À Québec, vous pouvez boire (et manger) à La Champagnerie. De quoi s’agit-il ? D’un bar à sabrage.

La Champagnerie, bar à sabrage, Québec

 

[Complément du 16 janvier 2018]

À cadeaux ? Pourquoi pas. (Via @fdaudens.)

Bar à cadeaux / Gift Bar

 

[Complément du 26 janvier 2018]

À suppléments ? C’est ce que dit la Presse+ du 24 janvier.

 

[Complément du 17 février 2018]

Vous frisez ? Vous frisottez ? Vous ondulez ? Vous bouclez ? Ce bar à lissage (rue du Montparnasse, Paris) est pour vous. Il n’est peut-être pas pour Martine Sonnet.

Bar à lissage, rue du Montparnasse, Paris

[Complément du 23 février 2018]

À olives ? Oui, et à Paris, et au Monop, et à Montaparnasse, foi de @msonnet.

Bar à olives, Monop, Montparnasse, février 2018

[Complément du 25 février 2018]

À tartares, après à cru ? C’est la Presse+ qui le disait hier.

Bar à tartares, la Presse+, 24 février 2018

 

[Complément du 14 mars 2018]

À Laval et à cheesecake ? Évidemment.

Le cheesecake bar, Laval

[Complément du 1er avril 2018]

Ce bar de Tolède attire-t-il vraiment un public ? (Merci à Élise Melançon.)

Gastrobar, Tolède, 2018

 

[Complément du 25 avril 2018]

À iode ? Les poissons du boulevard Saint-Germain, à Paris, seront ravis. (Merci à @msonnet.)

Bar à iode, Paris, avril 2018

[Complément du 14 juin 2018]

Suggestion tirée d’un roman (satirique) récent de Claude La Charité, le Meilleur Dernier Roman (Longueuil, L’instant même, 2018, 177 p. Ill.) :

Quelqu’un lança l’idée d’un bar des lettres sur le modèle du bar des sciences qu’animaient nos collègues scientifiques. La proposition avait du mérite, d’autant que les philosophes du cégep l’avaient reprise non sans succès avec leurs «Bières philosophales». Mais il y avait fort à parier que la même initiative avec des littéraires se terminerait en beuveries sans nom, dont n’émergeraient pas même les propos des bien ivres de Rabelais (p. 30).

 

[Complément du 18 juin 2018]

Trois Quatre pour le prix d’un.

«Bar à manger», La Presse+, 16 juin 2018

«Bar à sieste», La Presse+, 16 juin 2018

«Bar à idées», Montréal, juin 2018

«Bar à masques», Montréal, juin 2018

(Merci à Élise Melançon pour le «bar à idées» et le «bar à masques».)

 

[Complément du 6 août 2018]

Une glace japonaise ? Le bar à mochi, avenue Monkland à Montréal, est pour vous.

Bar à mochi, avenue Monkland, Montréal, août 2018

 

 

[Complément du 15 août 2018]

Trois en un, rapporte la Presse+ du 11 août : «Il s’agit de CSPS, le bar à café, pizza et vin installé tout juste derrière le restaurant Elena.»

 

[Complément du 28 septembre 2018]

À caramel et à pomme, ensemble. (Merci, en quelque sorte, à Élise Melançon.)

Bar à caramel et à pomme

 

[Complément du 29 septembre 2018]

L’Oreille tendue aime le baseball. Elle n’aurait jamais cru voir un jour advenir un bar à bâtons de baseball. Jamais.

Bar à bâtons de baseball, Montréal

 

[Complément du 23 octobre 2018]

À tissus, à Paris (Habitat Pont-Neuf), via @msonnet.

Bar à tissus, Habitat Pont-Neuf, Paris, 2018

[Complément du 18 février 2019]

À douche et en pharmacie, rue Saint-Jacques, à Paris. (Merci à Martine Sonnet.)

Bar à douche, Paris, 2019

[Complément du 20 février 2019]

Bar à Marrakech et à plusieurs choses, via @jeanphipayette.

Plusieurs bars en un, à Marrakech

[Complément du 20 février 2019]

À gyoza, rue Monkland, à Montréal.

Bar à gyoza, rue Monkland, Montréal

 

[Complément du 13 mars 2019]

Coup double : à jus et à salades. (Montréal, février 2019.)

Rejuice, bar à jus et à salades, Montréal, février 2019

 

[Complément du 25 mars 2019]

À poke ? Pourquoi pas ? (Merci à Élise Melançon.)

Bar à poke

 

[Complément du 28 avril 2019]

À bas ? Pourquoi pas ? (Merci à Élise Melançon.)

Bar à bas, Montréal, avril 2019

 

[Complément du 9 mai 2019]

À fritures, mais à Paris. (Merci à @msonnet.)

Bar à fritures, Paris, mai 2019

[Complément du 2 juin 2019]

En Italie : bibliothèque + bar. (Merci à Élise Melançon.)

BiblioBar, Rome, Italie

 

[Complément du 9 juin 2019]

Plaza Alexis-Nihon, à Montréal, la totale : à beauté.

Bar à beauté, Montréal, 2019

 

[Complément du 4 août 2019]

À chocolat et à Montréal, avenue Monkland.

Bar à chocolat, avenue Monkland, Montréal, août 2019

 

[Complément du 12 août 2019]

À patates et à Paris (marché boulevard Edgar-Quinet), via Martine Sonnet.

Bar à patates, Paris, août 2019

[Complément du 20 octobre 2019]

À fleurs et à Paris (rue Rotrou), via Martine Sonnet.

Bar à fleurs, Paris, octobre 2019

[Complément du 22 octobre 2019]

À… rituels. (Merci à Élise Melançon, qui a repéré ce bar dans la Presse+.)

Bars à rituels, la Presse+, 22 octobre 2019

 

[Complément du 6 novembre 2019]

À mousse au chocolat et à Paris.

Bar à mousses au chocolat, Paris, 2019

[Complément du 11 novembre 2019]

Bar à spiruline, porte de Versailles, Paris, novembre 2019

À spiruline et à la porte de Versailles. (Merci à @msonnet.)

 

[Complément du 17 février 2020]

À foin (la Presse+, 17 février 2020) ? Pourquoi pas : on nourrit bien les chevaux.

 

[Complément du 22 juin 2020]

À zakouskis ? Il semble bien que oui. (Merci à @msonnet.)

Bar à zakouskis, Paris sixième, juin 2020

[Complément du 6 septembre 2020]

À boucles d’oreilles ? Pourquoi non ? (Merci à @msonnet.)

Bar à boucles d’oreilles, rue Saint-André-des-arts, Paris, septembre 2020

[Complément du 6 septembre 2020]

À stylos ? À stylos et à Montréal. (Merci à Marie Malo.)

Bar à stylos, Montréal, juillet 2020

 

[Complément du 30 novembre 2020]

À expresso, mais mobile.

Bar à expresso mobile, Montréal, novembre 2020

 

[Complément du 21 décembre 2020]

Sur Twitter, @rafov74 se demande comment convaincre les sceptiques de se faire vacciner contre le coronavirus; ce serait peut-être affaire d’«image». Excellente réponse de @FrancisBoucher :

«Bar à vax», vu sur Twitter, 19 décembre 2020

 

[Complément du 17 août 2021]

À omelettes. (Merci à Élise Melançon.)

Bar à omelettes

 

[Complément du 6 septembre 2021]

À plantes ? Pourquoi pas, via la Presse+.

 

[Complément du 24 septembre 2021]

Une fois n’est pas coutume : ce bar porte bien son nom. (Merci à Élise Melançon.)

Milk Bar / Bar à lait (maternel)

 

[Complément du 22 novembre 2021]

À crêpes. (Merci à Élise Melançon.)

Bar à crêpes

[Complément du 29 novembre 2021]

À échecs (le jeu, pas un revers) ? Oui, à Paris. (Merci à @Pulchritudinous Vixen.)

 

[Complément du 12 décembre 2021]

Ce bar à beignes est une gracieuseté du cuisinier sans nom de famille. (Merci à Élise Melançon.)

Bar à beignes du magazine Ricardo

 

[Complément du 7 mars 2022]

Le 7 juillet 2016, nous avions croisé le bar à poutine, au singulier. Voici, de Sherbrooke, le bar à poutines (et plus…), au pluriel. On n’arrête pas le progrès.

Bar à poutines et plus, Sherbrooke, 4 mars 2022

 

[Complément du 8 mai 2022]

Rue Ontario, à Montréal, on trouve désormais un «bar à contenu», L’idéal.

 

[Complément du 26 mai 2022]

À leggings ? Oui, via Stéphanie Perron.

Bar à leggings, publicité (fautive)

[Complément du 20 juin 2022]

Triplé du jour.

À céréales.

Bar à céréales, Montréal

 

À poisson vieilli.

Bar à poisson vieilli, Montréal

 

À chats et à Madrid. (Merci à Luc Jodoin)

Bar à chats, Madrid, Espagne

 

[Complément du 5 août 2022]

À couscous ? À Kouscous (et à Paris) ! (Merci à @msonnet.)

Bar à Kouscous, Paris, août 2022

[Complément du 3 octobre 2022]

À tricot ? À tricot ! (Merci à Élise Melançon.)

Bar à tricot

 

[Complément du 5 novembre 2022]

À manches ? À manches ! (Merci à Élise Melançon.)

Bar à manches, France

 

[Complément du 12 décembre 2022]

À pâtes fraîches ? À pâtes fraîches ! (Mais pas à gelato.)

Bar à pâtes fraîches, avenue Monkland, Montréal, décembre 2022

 

[Complément du 8 janvier 2023]

À Pézenas, dans l’Hérault, vous pouviez fréquenter un bar à chaussures le 29 décembre 2020. Une photo de Jean-Damien Poncet, reproduite dans les Notules du jour, l’atteste. (Les Notules ? Par là.)

Bar à chaussures, Pézenas (Hérault), 29 décembre 2020, photo de Jean-Damien Poncet

 

[Complément du 23 mai 2023]

À langues ? Pourquoi pas ! (Vu à Aix par @bibliomancienne.)

Bar à langues, Aix, mai 2023, photo par Marie D. Martel

[Complément du 13 juin 2023]

À bagues ? À bagues ! (Rue Saint-Laurent, Montréal, 11 juin 2023)

Bar à bagues, rue Saint-Laurent, Montréal, 11 juin 2023

 

[Complément du 17 juin 2023]

En direct d’Amiens et d’une ancienne étudiante de l’Oreille tendue, deux découvertes : à papa (mais au singulier…) et à coupons.

Bar à papa, Amiens, France, juin 2023

Bar à coupons, Amiens, France, juin 2023

 

[Complément du 10 juillet 2023]

Deuxième bar à manger, toujours à Paris. Merci à @djamelsellah1.

«Bar à manger…», Paris, juillet 2023

 

[Complément du 4 septembre 2023]

Triplé du jour et de Montebello : laitier, à bonbons, à ballons.

 

Bar laitier • Bar à bonbons • Bar à ballons, Montebello (Québec)

 

[Complément du 6 septembre 2023]

Today’s bar comes from la France, plus précisément de Nantes : pas à chaussures, mais shoes bar.

Shoes Bar, Nantes (France), septembre 2023

 

[Complément du 15 décembre 2023]

Ajouts alimentaires du jour.

À souvlaki, au Canada.

Souvlaki Bar, Canada

À mozzarella, en Italie.

Mozzarella bar, Milan, Italie, novembre 2023

 

[Complément du 2 janvier 2024]

À gnocchis et à Montréal.

Bar à gnocchis, la Presse+, 2 janvier 2024

 

[Complément du 15 janvier 2024]

À dimsum ? À Madrid ! (Merci à @ljodoin.)

Shangrila, Bar Dimsum, Madrid, 2024

 

[Complément du 18 février 2024]

Trois d’un coup !

À homard et à fruits de mer.

Bar à homard et fruits de mer.

 

À pâtes fraîches.

Bar à pâtes fraîches

 

À tailleur. (Merci à Élise Melançon.)

Bar à tailleur (Suit Bar)

 

[Complément du 5 mars 2024]

À croissant (au singulier) ? À Belœil !

Bar à croissant, Belœil, Québec

 

[Complément du 14 avril 2024]

Bar à son (au singulier…) et à Montréal

Badin, «bar à son», Montréal, 2024

 

[Complément du 19 avril 2024]

À planche et à Paris, mais à venir. (Merci à Martine Sonnet.)

Bar à planche, Paris, 5e arrondissement, 2024

[Complément du 28 mai 2024]

À poisson et à Lisbonne. (Merci à Luc Jodoin.)

Bar à poisson, Lisbonne, mai 2024, photographie de Luc Jodoin

[Complément du 12 juin 2024]

À glaces et breuvages, et à Montréal.

Bar à glaces et breuvages, Montréal, juin 2024

 

[Complément du 10 juillet 2024]

À couleur (au singulier) et dans Hochelaga-Maisonneuve (Montréal). (Merci à Luc Jodoin.)

Bar à couleur, Montréal, 2024, photo de Luc Jodoin

 

[Complément du 14 juillet 2024]

Un autre bar à huîtres, à domicile et au Québec.

Bar à huîtres, Québec, juillet 2024

 

[Complément du 11 août 2024]

À chocolat et à Paris.

Bar à chocolat, Paris

 

[Complément du 25 août 2024]

Hier, dans le même mariage, célébré dans une couronne montréalaise (la 2e ? la 3e ?), trois bars : à alcool (ouvert),  à beignes et à poutine.

Bar à beignes, 24 août 2024

Bar à poutine, 24 août 2024