Quand on publie depuis un certain temps, il arrive un moment où nos textes, à défaut de faire œuvre, font masse. Et cette masse nous échappe.
L’Oreille tendue vient de faire paraître un recueil de trois textes sur le numérique et l’écriture adressée.
Sur son blogue, Brigitte Celerier (@brigetoun) a reproduit (merci) un extrait du premier de ces trois textes, Sevigne@Internet. Remarques sur le courrier électronique et la lettre (1996).
C’est indubitablement un texte de l’Oreille. Elle le lit pourtant aujourd’hui comme si c’était le texte d’un autre.
C’est un texte d’un autre.
P.-S. — Ce qui est vrai d’Épistol@rités l’est aussi de ce blogue et de ses 1575 entrées.
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