Il y eut une première salve, négative, le 9 septembre 2013, suivie d’une série positive, le lendemain. Nouvelle série de «non» ci-dessous.
Les binettes (les smileys) ? Non.
La croyance en la «subversion» artistique ? Non.
Michel Rabagliati ? Non.
LinkedIn ? Non.
«Paradigme» ? Non.
Pierre Falardeau ? Non.
Les films qui font peur ? Non.
L’industrie de l’humour ? Non (évidemment).
Marcel Sabourin ? Non.
Les titres de colloques avec chiasme («Critique de la culture, culture de la critique») ? Non.
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Pourquoi Non » ?
En parciculier pour binette.
L’Oreille tendue s’est mise au courriel à la fin des années 1980. Depuis, elle est sur Twitter et, en bon père de famille, elle texte à l’occasion. Elle se vante de ne jamais avoir utilisé de binette de sa vie. C’est insiginifiant — elle n’en disconvient pas —, mais c’est comme ça.
Le « paradigme » est encore plus haïssable quand il est « nouveau », ce qu’il est en général quand on vous en parle, sur un ton suffisant.
Le paradigme est soit nouveau soit ancien. Une chose est sûre : on est toujours en train d’en changer.