Autopromotion 191

Le prochain livre de l’Oreille tendue est chez l’imprimeur. Il devrait être en librairie le 21 septembre 2015. (On peut lire le communiqué de presse ici.)

En primeur, sa couverture.

Benoît Melançon, Le niveau baisse !, 2015, couverture

Sa quatrième de couverture.

La langue est le domaine par excellence des idées reçues. Benoît Melançon s’attaque à quatorze d’entre elles.

Est-ce vrai que le niveau linguistique baisse ? Que c’était mieux avant ? Les Québécois parlent-ils franglais ? Le pronom «on» exclut-il la personne qui parle ? L’anglais est-il une langue facile ? Tous les mots sont-ils dans le dictionnaire ?

Après avoir réfléchi avec humour à de tels lieux communs, quelle est la position de l’auteur ? Ni alarmisme ni jovialisme.

Essayiste, blogueur à L’oreille tendue, professeur et éditeur, Benoît Melançon est l’auteur de plusieurs livres remarqués, dont un Dictionnaire québécois instantané et Langue de puck. Abécédaire du hockey. En 2012, il recevait du gouvernement du Québec sa plus haute distinction en matière de qualité et de rayonnement de la langue française, le prix Georges-Émile-Lapalme.

Et sa table des matières.

Avertissement

Parler français au Québec

Le niveau baisse !

La maîtrise de toutes les subtilités des règles de l’accord du participe passé est le signe que l’on possède parfaitement sa langue, et cette maîtrise doit être acquise à tout prix.

Les Québécois parlent franglais.

Les Québécois parlent joual.

Les Québécois parlent le québécois.

Les Québécois ne parlent pas français.

La question linguistique est une question récente au Québec.

Le niveau monte !

«On» exclut la personne qui parle.

Délier les langues

Utiliser des anglicismes, c’est (le) mal.

Bien parler, c’est se respecter.

La langue anglaise s’impose grâce à sa facilité.

Tous les mots sont dans le dictionnaire.

Le bilinguisme est une richesse collective.

Postface

Remerciements

Sources

Bibliographie

En vidéo…

Dans les médias…

Cynthia Brisson, «On craque pour…», les Libraires, 90, septembre-octobre 2015, p. 44 : «Une réflexion tempérée sur un sujet chaud.»

Louis Cornellier, «Le Québec en réflexion», le Devoir, 5-6 septembre 2015 : «Chez Del Busso, Benoît Melançon, dans Le niveau baisse !, dégonflera des idées reçues sur la langue.»

Entretien avec Catherine Perrin, radio de Radio-Canada (Montréal), 21 septembre 2015.

Karine Vilder, «À lire aussi cette semaine», le Journal de Montréal et le Journal de Québec, 27 septembre 2015. Repris dans le journal 24h, 2-4 octobre 2015, p. W15 : «Directeur du Département des littératures de langue française de l’Université de Montréal, ­Benoît Melançon s’intéresse de près à tout ce qui se rapporte à la langue. Et n’ayant pas la sienne dans sa poche, il répond dans cet ouvrage à plusieurs questions passionnantes — les Québécois parlaient-ils mieux avant ? La langue québécoise existe-t-elle ? Les anglicismes sont-ils si courants que ça au Québec ? —, tordant ainsi le cou à quantité d’idées ­reçues.»

Entretien avec Martine Blanchard, radio de Radio-Canada (Acadie), 28 septembre 2015.

Chronique de Maxime Fecteau, émission de radio Catherine et Laurent, CIBL 101,5 (Montréal), 29 septembre 2015 (77e minute, puis 110e minute).

Débat avec Christian Dufour, animé par Isabelle Maréchal, radio 98,5 (Cogeco, Montréal), 30 septembre 2015.

Suggestion de lecture de Sylvain Ménard, émission Quart de nuit, radio 98,5 (Cogeco, Montréal), 4 octobre 2015.

Entretien avec François Carrier, émission de radio les Midis express Pontiac, CHIP 101,7, Fort-Coulonge (Québec), 7 octobre 2015.

Catherine Lalonde, «Ça suffit, les complexes ! Benoît Melançon s’attaque à 15 idées reçues sur la langue française», le Devoir, 8 septembre 2015, p. A1 et A8.

Guy Breton, «Le niveau monte !», Carnet du recteur, Université de Montréal, 8 octobre 2015.

Robert Dutrisac, «Le gouvernement fait de fausses économies, prévient le Conseil de la langue française», le Devoir, 9 octobre 2015 : «Conrad Ouellon n’est pas de ceux qui croient que les jeunes parlent de plus en plus mal, qu’ils écrivent de plus en plus mal. Il a affirmé qu’il aurait pu écrire le dernier livre de Benoît Melançon qui dénonce 15 idées reçues sur la qualité du français au Québec. Chose certaine, les exigences quant au français écrit sont beaucoup plus grandes aujourd’hui qu’elles ne l’étaient il y a 40 ans, croit le président du CSLF [Conseil supérieur de la langue française du Québec].»

Entretien avec Marie Villeneuve, radio de Radio-Canada (Vancouver), 15 octobre 2015.

La Presse+, 18 octobre 2015 : «Clair, intelligent et accessible» (Josée Lapointe).

Le Journal de Montréal, 25 octobre 2015, p. 49 : «Melançon essaie de relativiser nos perceptions sur la dégradation de la langue, avec humour, moult exemples et brio» (Jacques Lanctôt).

Entretien avec Diane Trudel, radio FM 103,3 (Longueuil), 25 octobre 2015.

«Aussi amusant qu’instructif !» (Marc Cassivi, 31 octobre 2015, Twitter)

Louis Cornellier, «Quelques vérités sur la langue», le Devoir, 7-8 novembre 2015, p. F6 : «Dans son livre, absolument agréable et instructif, Melançon se propose justement de faire la part des choses avec rigueur, mais en cultivant un humour subtil et un sain détachement. Le professeur n’a pas toujours raison, mais sa contribution à la discussion est vraiment réjouissante et salutaire.»

La soirée est encore jeune, radio de Radio-Canada, Montréal, 7 novembre 2015 (Olivier Niquet)

300 millions de critiques, TV5 monde, 8 novembre 2015 (Matthieu Dugal) : «Coup de cœur.»

Débat animé par Marie-France Bazzo à l’émission de télévision BazzoTV, réseau Télé-Québec (Montréal), 12 novembre 2015.

Blogue Jeanne Émard, 25 novembre 2015 : «agréable à lire, léger et rigolo».

Blogue de la Librairie Pantoute, 25 novembre 2015 : «Benoît Melançon, linguiste expert, blogueur à L’oreille tendue, essayiste plein de fraîcheur, auteur, il y a peu, d’un délirant Langue de puck : Abécédaire du hockey, assaille à fond de train, et avec humour, les lieux communs sur la langue dans Le niveau baisse ! (et autres idées reçues sur la langue), une colorée et réjouissante plaquette d’une centaine de pages, publiée chez Del Busso, une invitation à prendre un peu de recul critique sur un débat antédiluvien» (Christian Vachon).

Association pour le soutien et l’usage de la langue française, l’Expression juste, XXIXe année, 63e bulletin, décembre 2015, p. 4 : «La plaquette se lit en un rien de temps. Courte et bien écrite. Une vue générale sur l’évolution de la langue française parlée ici. C’est un regard d’amoureux du français (on peut consulter son blogue : L’oreille tendue). Par certains côtés, l’auteur agacera les membres de l’Asulf, mais il partage plusieurs de leurs perspectives. Il est passionné par la langue et l’observe très souvent de manière critique, comme les membres de l’Asulf.»

Le Monde selon Antoine Perraud, France Culture, 27 décembre 2015 : «une charge réjouissante contre les essentialistes aux idées tellement toutes faites qu’elles sont bien arrêtées».

Luc Jodoin, «La compagnie des livres en 2015», blogue BiblioBabil, 31 décembre 2015 : «une manière de Top 10».

Bauvarie Mounga, Francophonies d’Amérique, 40-41, automne 2015-printemps 2016, p. 275-278 : «Dans cet ouvrage, Melançon s’interroge sur le devenir de la langue française avec détachement et humour. Le texte est très agréable à lire et accessible à tous, tout en s’appuyant sur des recherches importantes qui lui confèrent un caractère scientifique rigoureux. Ce livre s’adresse aux étudiants en linguistique, aux Québécois et à toute personne désireuse de connaître le statut de la langue française au Québec.»

Sophie Mangado, «L’entrevue du mois. Le déclin du français ? Un mythe !», Sélection du Reader’s Digest, janvier 2016, p. 12-14 : «Et si on décrispait notre rapport au français ? Avec Le niveau baisse !, Benoît Melançon s’attaque avec humour et légèreté aux idées reçues qui nous collent à la langue.»

Jean-Pierre Durand, «Idées reçues sur la langue», le Patriote. Le journal de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, 16, 1, février 2016, p. 13 : «C’est passionnant et — osons le mot — déconstipant.»

Jean Delisle, «La langue hybride ou le néo-libéralisme linguistique», site de la revue Argument, 24 mars 2016 : «Benoît Melançon et Marc Cassivi auraient tout intérêt à aller se renseigner auprès des traducteurs, qui détiennent une des clés de la compréhension des langues en contact.»

Julie Roberge, «Le niveau baisse ! (et autres idées reçues sur la langue) : quand la légèreté n’empêche pas la pertinence», Correspondance (Centre collégial de développement de matériel didactique), 21, 3, 2016, p. 13-15 : «Le niveau baisse ! (et autres idées reçues sur la langue), paru à la fin de 2015 chez Del Busso éditeur, est un petit ouvrage qui fait du bien. On parcourt ses 118 pages en un peu plus d’une heure, et on en ressort avec l’impression de quitter une pétillante conversation avec un interlocuteur érudit, excellent vulgarisateur et, surtout, plein d’humour.»

Megan Deslongchamps, blogue la Page ouverte. Blogue littéraire, janvier 2018.

«Un livre excellent !» (@PeterSokolowski, 28 juillet 2018, Twitter)

David Laporte, «Le français dans tous ses états (de langue et d’âme)», Nuit blanche, 152, automne 2018, p. 24-27 : «Avec l’humour et la finesse qu’on lui connaît, ce qui ne gâte rien, le professeur en études littéraires s’adonne au déboulonnage de croyances tenaces issues de la mythologie populaire sur la langue. Quelques articles de son blogue L’Oreille tendue s’y retrouvent, parmi une sélection de courtes interventions critiques réfutant chaque fois une idée reçue.»

Et un extrait

 

[Complément du 23 août 2021]

Le livre n’était plus disponible. Il l’est de nouveau.

 

Référence

Melançon, Benoît, Le niveau baisse ! (et autres idées reçues sur la langue), Montréal, Del Busso éditeur, 2015, 118 p. Ill. ISBN : 978-2-923792-72-9. (14,95 $)

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