Dans une de ses aventures antérieures, l’Oreille tendue avait souligné combien la transparence était devenue chose essentielle chez les politiques.
Elle ne s’étonne pas de trouver la même exigence chez les journalistes, encore que certaine formulation lui paraisse poser problème. Dans le quotidien montréalais la Presse+, la transparence semble insuffisante; on s’y réclame régulièrement de la transparence totale.
On trouve l’expression chez plusieurs journalistes et chroniqueurs. Quelques exemples des deux dernières années (merci à Jean-Patrice Martel) : 16 décembre 2020, 27 novembre 2020, 16 septembre 2020, 27 avril 2019, 5 mars 2019.
Une demi-transparence, ou un quart de transparence, ou un tiers de transparence, serait-ce encore de la transparence ? Bref, pourquoi pas, plus simplement, transparence ?
Tant de questions, si peu de jours.
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Je viens de tomber sur ce billet et ça me rappelle que je voyais l’expression régulièrement sur le blogue de Patrick Lagacé. Je ne serais pas étonné que ça s’y soit propagé par ce biais.