Si jamais l’Oreille se sent peccable…

Andrée Lévesque, les Filles de Jeanne, 2024, couverture

L’éducation religieuse obligatoire de l’Oreille tendue est bien loin derrière elle. Elle ne comportait pas, sauf erreur de sa part, cette utile typologie, qu’elle découvre en lisant les Filles de Jeanne d’Andrée Lévesque :

Quand du haut de la chaire le curé condamne le vice, il s’agit le plus souvent de l’abus d’alcool. Est-ce de cette époque [le XIXe siècle] que date la catégorisation des fautes en péchés secs (le blasphème), péchés mouillés (alcool) et péchés poilus (sexe) ? (p. 144)

Sait-on jamais : ça peut peut-être servir un de ces jours.

P.-S.—Oui, certes, du blasphème, il a déjà été question ici.

 

Référence

Lévesque, Andrée, les Filles de Jeanne. Histoires de vies anonymes, 1658-1915, Montréal, Édition du remue-ménage, 2024, 246 p. Ill.

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