Le grégarisme du Québec ne faire guère de doute : de sommet en focus stratégique, il est bon d’y échanger au niveau des débats de société.
Dans le même registre, le vieux fond catholique provincial est aussi présent : «La présidente [de la Fédération des commissions scolaires], Josée Bouchard, a dit trouver “démobilisant de devoir encore mettre de l’énergie à débattre des structures lors d’une grand-messe alors qu’on devrait se concentrer sur la réussite”» (le Devoir, 31 mars 2010, p. A3).
Parler de grand-messe, en ces temps d’accommodements raisonnables, est-ce bien raisonnable ?
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