Quand on s’attache à la langue, une menace plane : «l’oreille tendue, son visage exprimait de l’ennui, de la mauvaise humeur, voire un sentiment qui, sans être de l’inquiétude, y ressemblait» (les Inconnus dans la maison, p. 901).
Pour éviter cela, une solution : prendre congé de clavier.
L’Oreille tendue sera de retour dans une dizaine de jours.
Référence
Simenon, les Inconnus dans la maison, dans Romans. I, Paris, Gallimard, coll. «Bibliothèque de la Pléiade», 495, 2003, p. 893-1042 et 1442-1458. Édition établie par Jacques Dubois, avec Benoît Denis. Édition originale : 1940.
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Bon congé de clavier, chère Oreille, et au plaisir de vous relire lorsque la légèreté sera de nouveau au rendez-vous.
m.