«Albert est devenu livide. Il a tendu l’oreille, m’a serré le bras à me faire mal, frénétique soudain.
—Yiddish ! s’est-il exclamé. Elle parle yiddish !
Ainsi, la mort parlait yiddish.»
Jorge Semprún, l’Écriture ou la vie, Paris, Gallimard, 1994, 328 p., p. 39.
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