Il y a, communément, l’«Action de capitaliser» (le Petit Robert, édition numérique de 2010). C’est affaire d’argent à amasser.
Une lectrice québécoparisienne de l’Oreille tendue propose, pour sa part, d’appeler capitalisation l’obsession de la capitale. L’Oreille se range volontiers à cette proposition.
Cette lectrice accompagne sa proposition d’un hyperlien. Icelui fait apparaître l’illustration suivante :
Est-ce à dire que la capitalisation ne serait pas un mal proprement québécois ? Il faudra se pencher sur cette question et voir quelles sont ses conséquences sur l’identité provinciale.
Cette œuvre est sous Licence Creative Commons Internationale Attribution-Pas d'Utilisation Commerciale 4.0.
Une réponse sur “La capitalisation, sous ses deux espèces”