Quatre déclarations électorales :
«C’est bien connu, la technologie est la locomotive de la nouvelle économie, mais le capital humain en est incontestablement la force motrice»;
le candidat et son parti «s’engagent à […] renouveler la gouvernance du développement économique de [X] pour catalyser les efforts de tous les intervenants et créer des synergies importantes»;
«Le bien-être des citoyens de [X] sera au centre de la démarche qui se voudra inclusive de toutes les composantes de la communauté»;
«La qualité de la gouvernance économique des villes-régions est un facteur clé de leur compétitivité. La capacité de la ville à orienter son développement stratégiquement, à travailler pro-activement pour concrétiser des opportunités économiques et à livrer des services de qualité compte parmi les compétences clés des villes agissantes.»
Est-ce tiré des textes de la campagne électorale actuelle ? Non : cela vient du programme électoral de l’équipe de Gérald Tremblay à la mairie de Montréal en 2001.
Plus ça change, moins c’est pas pareil, en quelque répétitive sorte.
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