«ce n’est ni la volonté ni l’exactitude du spécialiste qui décident si un mot nouveau est communément admis ou non, mais bien l’humeur et l’imagination de la communauté.»
Victor Klemperer, LTI, la langue du IIIe Reich. Carnets d’un philologue, Paris, Albin Michel, coll. «Agora», 202, 1996, 372 p., p. 173. Traduit de l’allemand et annoté par Élisabeth Guillot. Présenté par Sonia Combe et Alain Brossat.
[Complément du 3 décembre 2014]
P.-S.—L’Oreille tendue a présenté ce texte le 3 décembre 2014.
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