L’autre jour, à la radio, l’Oreille tendue réfléchissait aux formes contemporaines du tourisme : volontourisme, nécrotourisme (thanatourism, dark tourism), tourisme sans abri (poorism), tourisme de catastrophe (crisis tourism).
Pourquoi arrêter en si bon chemin ? Ajoutons à la liste narcotouristes (narcoturistas); cela se pratiquerait, rapporte The New Yorker, au pays de Pedro Escobar.
C’est peut-être ce qui explique que plusieurs cèdent dorénavant à la touristophobie (et pas seulement à Barcelone).
Illustration : Portrait de Pablo Escobar, Police nationale colombienne, 1977, disponible sur Wikimedia Commons
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