Le 19 mai 2012, l’Oreille tendue donnait naissance, en quelque sorte, à l’École de la tchén’ssâ. Depuis, cette école littéraire québécoise a connu une étonnante fortune (il en a été question ici et là).
Six ajouts à ce rayonnement inattendu.
Dans la revue Liberté, sous la plume de Jonathan Livernois («Un shack à soi. De la permanence tranquille ou pourquoi craindre la disparition», numéro 300, été 2013, p. 18).
Dans un tweet de @david_turgeon le 6 juin 2013.
Dans l’hebdomadaire Voir, chez Dominic Tardif («8 raisons de marcher jusque chez le libraire», 5 septembre 2013).
Dans le quotidien le Devoir, quand Christian Desmeules rend compte de Dixie de William S. Messier («William S. Messier, maître brasseur», 7-8 septembre 2013, p. F2).
Dans un modeste Tumblr lancé par un ami de l’Oreille, Chicks With Chainsaws.
Sur le blogue Ils sont partout, le 25 septembre 2013.
Jusqu’où cela s’arrêtera-t-il ?
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