Ella Fitzgerald est née il y a cent ans. Germaine de Staël est morte il y a deux cents ans. Peut-on réunir le jazz et le Siècle des lumières ? Pascal Anquetil le fait dans la livraison d’avril 2017 de Jazz magazine : «Mais tout succès a ses revers. Il faut souvent en payer le prix. Il peut être lourd. “La gloire, a dit Madame de Staël, est le deuil éclatant du bonheur.” La vie amoureuse d’Ella, qui fut aussi intense que décevante, en est l’implacable démonstration» (p. 15).
Il fallait oser.
[Complément du 10 juin 2020]
L’Oreille a repris ce texte, sous le titre «Le jazz et Mme de Staël», dans le livre qu’elle a fait paraître au début de 2020, Nos Lumières.
Références
Anquetil, Pascal, «Des fleurs pour Ella», Jazz magazine, 693, avril 2017, p. 11-23.
Melançon, Benoît, Nos Lumières. Les classiques au jour le jour, Montréal, Del Busso éditeur, 2020, 194 p.
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