«Pourtant, malgré la buée méphitique et l’odeur pestilentielle qui embrumaient constamment le bâtiment, les latrines du Petit Camp étaient un endroit convivial, une sorte de refuge où retrouver des compatriotes, des copains de quartier ou de maquis : un lieu où échanger des nouvelles, quelques brins de tabac, des souvenirs, des rires, un peu d’espoir : de la vie, en somme.»
Jorge Semprún, l’Écriture ou la vie, Paris, Gallimard, 1994, 328 p., p. 49.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
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Un magnifique livre!