L’informatique nous a donné nombre de mots en –ware.
On fait tourner du software (logiciel) sur son hardware (matériel). Un logiciel truffé de fonctionnalités inutiles pour la plupart de ses utilisateurs est un bloatware (boufficiel). Le logiciel annoncé mais pas encore livré ? Du vaporware (fumiciel).
Pedro Rafael Rosado consacre sa chronique du 14 avril du podcast Tech Talk à un terme utile : le crapware, le logiciel de merde.
De quoi s’agit-il ? Rosado emprunte la définition suivante à about.com :
Crapware is software that is bundled with a new PC or other software package that the user is not fully aware that they are installing. It usually consists of poor quality utilities, games, toolbars and other useless software. Crapware authors will present confusing or cluttered installation screens that have the unwanted software scheduled to be installed by default or installed automatically. Crapware is usually not malicious and therefore not considered malware.
Adaptation libre : sans vous demander votre avis, on essaie de vous fourguer des logiciels de piètre qualité. Ils ne sont pas dangereux (malware), mais ils vous emmerdent.
Traduction ?
P.-S. — C’est évidemment plus fréquent sur Windows que sur Mac.
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Un « nulliciel »?
Il semble à l’Oreille tendue qu’il faudrait quelque chose où l’idée de nuisance est soulignée. Préjudiciel ? Nuisiciel ? Infecticiel ?
Fourbiciel? Ce sont des logiciels de « chnoutte » quoi.
courriel – poubelle – pourriel
logiciel – poubelle – pourriciel
Pesticiel?