Le complexe militaro-agricole a perdu. La preuve ? Rien de pire aujourd’hui, du moins dans le milieu universitaire, que de travailler ou que de penser en silo. Il faut chercher d’abord et avant tout l’échange, la circulation, la communication, voire la transversalité. Pas question de rester seul dans son coin, dans les profondeurs comme dans les hauteurs.
Vous avez été prévenus.
[Complément du 10 juin 2014]
Ceci, tiré du quotidien le Devoir du jour :
Mme Marois a également déclaré que «tous les souverainistes, tous les penseurs, les innovateurs, les créateurs, les intellectuels, toutes les forces de changement du Québec doivent reprendre le dialogue, cesser de travailler en chapelle» (p. A3).
D’où l’on doit conclure que les chapelles, au Parti québécois, sont des silos, et vice versa.
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