«Désormais accoutumé à la pénombre. Il avança dans la pièce qu’il supposait être la salle à manger et qui donnait sur le jardin, à ce qu’il avait vu lors de sa dernière visite. Il appela à nouveau Rasmus en haussant la voix, puis resta un long moment immobile, tendant l’oreille, mais il n’obtint en guise de réponse qu’un profond silence.»
Arnaldur Indridason, le Lagon noir, Paris, Métailié, coll. «Métailié noir. Bibliothèque nordique», 2016, 317 p., p. 301. Traduction d’Éric Boury. Édition originale : 2014.
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