Le zeugme du dimanche matin et de Georges Privet

Denys Arcand «avait tâché — avec un positivisme forcé, qui frôle le déni volontaire — de traquer le “beau” dans ce qu’il a de plus artificiel : les intrigues sans fièvre de jeunes sans âme, filmés comme des dieux dans un Charlevoix aux airs d’Olympe, admirant le fleuve et leur nombril dans des maisons plus intéressantes qu’eux».

Georges Privet, «Réflexions d’été (part two)», l’Inconvénient, 66, automne 2016, p. 56-58, p. 57. https://id.erudit.org/iderudit/83771ac

 

(Une définition du zeugme ? Par .)

CC BY-NC 4.0 Cette œuvre est sous Licence Creative Commons Internationale Attribution-Pas d'Utilisation Commerciale 4.0.

Laissez un commentaire svp