L’oreille tendue de… Georges Perec

Georges Perec, Théâtre I, éd. de 1981, couverture

«Ni la sonnerie, ni les trois coups ne semblent avoir affecté les personnages, à l’exception de la vieille femme dont on peut avoir l’impression qu’elle a interrogativement tendu l’oreille.»

Georges Perec, la Poche Parmentier, dans Théâtre I, Paris, Hachette, coll. «P.O.L», 1981, 132 p., p. 65.

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