«Je restai debout, près du poste de télévision, les yeux fixés sur la porte du salon, l’oreille tendue pour entendre, malgré la musique du du film, le son des voix dans l’entrée.»
Tucker Coe, le Sang des innocents, Paris, Gallimard, coll. «Série noire», 1235, 1968, 250 p., p. 55. Traduction de J. Hérisson.
Cette œuvre est sous Licence Creative Commons Internationale Attribution-Pas d'Utilisation Commerciale 4.0.