Si, au Québec, s’asseoir est synonyme de parler, il va de soi que se rasseoir signifie recommencer à parler.
Exemple : «Négocier ? Trop tard ! Même s’ils rentrent au travail, les procureurs refusent de se rasseoir avec Québec et demandent la démission du directeur des poursuites» (le Devoir, 23 février 2011, p. A3).
[Complément du 18 mai 2012]
Autre exemple, pendant la grève étudiante québécoise de 2012 : «Ministres et étudiants sont responsables de l’échec de l’entente. Ils doivent se rasseoir» (la Presse, 8 mai 2012, p. A20).
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