L’art (chirurgical) du portrait

 Éric Chevillard, Dino Egger, 2011, couverture

«Dino Egger craint surtout de renaître sous les traits cireux et lisses de ces momies vivantes retouchées au scalpel que l’on dirait couvertes d’un film plastique et qui n’ont plus ni expression ni âge, puis autant de difficulté à sourire franchement que la paupiette ficelée.»

Éric Chevillard, Dino Egger. Roman, Paris, Éditions de Minuit, 2011, 153 p., p. 150-151.

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