«La poitrine est prise par un érésipèle, diagnostique le médecin après avoir tâté le pouls du malade et examiné sa gorge avec le manche d’une cuillère et une brusquerie telle qu’il manque de le faire vomir.»
Arturo Pérez-Reverte, Deux hommes de bien. Roman, traduction de Gabriel Iaculli, Paris, Seuil, 2017, 501 p., p. 295. Édition originale : 2015.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
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