Vous vous réveillez le matin avec un petit air en tête : Joe Dassin, Renée Martel, Stockhausen. Vous ne pouvez plus vous en défaire de toute la journée. Comment appeler cela ?
Monique Giroux, de Radio-Canada, proposait, à une certaine époque, chanson poison.
Sur le modèle de music worm, une fidèle lectrice de l’Oreille tendue, @PimpetteDunoyer, utilise ver sonore. Elle dirige ses lecteurs vers une bande dessinée en ligne, sur le blogue BD de cul, qui illustre bien l’affaire.
Quel que soit le terme retenu, une chose est sûre : c’est bien peu appétissant. Ça peut même être mortel.
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J’ai toujours utilisé l’expression : ver d’oreille. Pas plus ragoûtant, j’en conviens.