«La rue, j’aime ça. Photos au grand-angle, au jugé, au maximum de distance focale.»
Jean-François Vilar, C’est toujours les autres qui meurent, Paris, J’ai lu, coll. «Romans policiers», 1979, 1986 (1982), 211 p., p. 10.
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Une réflexion sur « Le zeugme du vendredi matin et de Jean-François Vilar »