Un vibrateur ? Banal. Pensez plutôt autoérotiseur (le Devoir, 10 février 2014, p. A4). Ça ne vibre pas, mais ça sert, grosso modo, à la même chose.
L’Oreille tendue connaissait la littérature grise. Elle découvre l’existence de la littérature noire. Non, pas le roman policier, mais des répertoires numériques cachés, créés à des fins de conservation. Ce serait la traduction de dark archive.
Pierre Assouline (@Passouline) appelle les amateurs de polars des polardeux.
Ce film est un pamphlet ? Pourquoi ne pas parler de pamphlilm (merci à @parolesdesjours) ?
Ni bazar ni vernissage, ou la conjonction des deux ? Organisez un bazarnissage (merci à @revi_redac).
Les complots sont partout. (Les tenants de la théorie du complot vous le diront.) Y compris dans Internet. Méfiez-vous de la complosphère (merci à @OursMathieu).
Vous souhaitez «créer une chaîne sur Facebook en défiant vos amis» (Julien Voinson). Si vous les poussez à boire, ce sera de la neknomination. Si vous les poussez à faire une bonne action, ce sera de la smartnomination.
On n’arrête pas le progrès.
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Et pour une de mes copines anglophones, pas gênée pour deux sous, son vibrateur, ben, c’est Bob (battery operated boyfriend).