Ne lui demandez pas pourquoi : l’Oreille tendue a une imposante collection d’occurrences de la locution à saveur (voir ici, par exemple).
Elle peut cependant assurer ses lecteurs qu’elle n’avait jamais, avant aujourd’hui, lu ceci, à propos de la nouvelle saison de l’émission de télévision les Beaux Malaises : «Un épisode à saveur sexuelle qui crée un vrai malaise» (le Devoir, 13 janvier 2016, p. B8).
On n’arrête pas le progrès, genre.
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2 réponses sur “À saveur d’étonnement”