Dans le Devoir des 8-9 février 2020 :
«D’ailleurs, au risque de dire quelque chose qui semblera peut-être incongru, ce film, c’est aussi une lettre d’amour à Montréal» (le D magazine, p. 5).
«Cette série est une lettre d’amour au pouvoir de la télévision» (le D magazine, p. 37).
Déjà en 2015 :
«une vibrante lettre d’amour au cinéma» (24 décembre 2015, p. E4).
Dans la Presse+ :
«Leur auteur les décrit comme une “lettre d’amour à Montréal”, mais c’est surtout l’œuvre d’un érudit qui nous livre une très belle réflexion philosophique» (6 novembre 2019).
«Cet album est une lettre d’amour à l’amour, dans tout ce qu’il a de plus irritant, passionné, excitant, ravissant, horrible, tragique, magnifique, glorieux» (26 août 2019).
«Lettre d’amour à» : moratoire ou pas ? L’Oreille tendue se tâte.
[Complément du 13 décembre 2021]
Brassée du jour. Ça ne va pas mieux.
«Une lettre d’amour à Naples» (la Presse+, 3 décembre 2021).
«Une lettre d’amour à l’Eurovision» (la Presse+, 27 juin 2020).
«À travers ses réflexions tissées de métaphores, elle offre aussi, et surtout, une magnifique lettre d’amour aux langues, le français en particulier, et à leur pouvoir transformateur» (la Presse+, 1er mars 2020).
«C’est dommage, parce qu’au fond, mon film est une lettre d’amour à Niagara Falls» (le Devoir, le D Magazine, 22-23 février 2020, p. 15).
«Lettre d’amour à l’Amérique noire» (la Presse+, 17 février 2021).
«Le roman peint aussi un tableau vivant de la Côte-Nord et est une lettre d’amour sentie aux produits de la mer, qui y occupent une place centrale» (la Presse+, 25 avril 2021).
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