Dans le Devoir des 8-9 février 2020 :
«D’ailleurs, au risque de dire quelque chose qui semblera peut-être incongru, ce film, c’est aussi une lettre d’amour à Montréal» (le D magazine, p. 5).
«Cette série est une lettre d’amour au pouvoir de la télévision» (le D magazine, p. 37).
Déjà en 2015 :
«une vibrante lettre d’amour au cinéma» (24 décembre 2015, p. E4).
Dans la Presse+ :
«Leur auteur les décrit comme une “lettre d’amour à Montréal”, mais c’est surtout l’œuvre d’un érudit qui nous livre une très belle réflexion philosophique» (6 novembre 2019).
«Cet album est une lettre d’amour à l’amour, dans tout ce qu’il a de plus irritant, passionné, excitant, ravissant, horrible, tragique, magnifique, glorieux» (26 août 2019).
«Lettre d’amour à» : moratoire ou pas ? L’Oreille tendue se tâte.
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