Le 25 avril 2012, l’Oreille tendue proposait quelques réflexions sur la place, au Québec, du mot tanné et sur son histoire. Les exemples venaient de Twitter, de la littérature, de la chanson.
En voici deux nouveaux, tirés du monde de la publicité, les deux dans une tournure interrogative.
Le premier était dans l’édition numérique du quotidien la Presse, la Presse+, le 26 avril dernier.
On doit le second à l’excellent blogue OffQc, dans sa livraison du 2 mai.
D’une année sur l’autre, on ne se tanne pas de tanné.
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Histoire de vous contredire, Bernard Adamus s’en tanne justement dans une chanson de son album intutilé No 2 : Arrange-toi avec ça.
« Du monde qui ont toute/ Rien à manger/Eh qu’ch’tanné/
D’dire chus tanné »