«L’officier lut 6 h 50 à sa montre à gousset, leva le nez, scruta le ciel, tendit l’oreille, puis accepta enfin. Le Chanceux grimpa hors de sa tranchée et remonta les cinq cents mètres qui le séparaient du campement principal, un campement qui ressemblait en tout point à celui de Kollaa.»
Olivier Norek, les Guerriers de l’hiver. Roman, Paris, Michel Lafon, 2024, 446 p., p. 113.
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