En français populaire du Québec, vraisemblablement sous l’influence de l’anglais, quand une équipe sportive (A) domine régulièrement un adversaire en particulier (B), on dit : «A a le numéro de B.»
Il n’est pas sûr que la chose s’explique, mais elle se vérifie.
À votre service.
P.-S.—Il est d’autres choses qu’il vaut mieux avoir que pas : ceci, par exemple.
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