Il y a quelques années, une ministre québécoise de la Culture et des Communications se réjouissait, en sortant du bureau de vote, d’avoir fait son devoir «de citoyen et de citoyenne». Une autre crise d’identité au Parti québécois.
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Le mouvement féministe dans ses extrêmes n’aura réussi qu’ alourdir les textes et discours. Je parle içi que de la lanque bien sùr. Pour le reste le mouvement avait sa raison d’être.
Je suis curieux de connaître votre opinion sur le sujet.
Bien à vous.
RÉJEAN
Ce qui frappe l’Oreille tendue dans les trois exemples qu’elle a cités ces derniers jours, ce n’est pas tant la féminisation que son aspect alambiqué (À il et à elle 001 et À il et à elle 002) ou cocassement mécanique (À il et à elle 003).