Soit la phrase suivante, signée Jean Dion et tirée d’un article sur le baseballeur Roberto Clemente (le Devoir, 23 juin 2015, p. B6) : «Il est resté là, à 3000 [coups sûrs] sur le nez, comme un signe du destin…»
Sur le nez ? Exactement, précisément.
P.-S. — Oui, bien sûr, cela vient de l’anglais on the nose.
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