Ceci, en 2011 : «Alaclair ensemble dit ne pas faire du rap québécois, mais du post-rigodon bas-canadien» (le Devoir, 14 juillet 2011, p. B8).
Cela, en 2017, dans la bouche de William S. Messier : «Les gars d’Alaclair, ils sont comme tout le monde, dans la vie, ils ne parlent pas en bas-canadien» (la Presse+, 5 mars 2017).
Question : le «bas-canadien», c’est une langue propre au groupe Alaclair ensemble ou faut-il donner à l’étiquette une plus grande extension, comme on l’a fait jadis pour le joual ou le franglais ?
Signé : une Oreille qui veut savoir.
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