«Il cavalcade, le monstre à six têtes, entre en tornade, une harde sauvage, un fil à pattes les liant : la p’tite papoose à cru sur le mongol, le ti-cul derrière se bêchant, les grands sautant l’obstacle, virant le coin sec. Foin dans les cheveux, ronces aux mollets, grafignes et rose aux joues, crottés rare, ils sèment samares, cocottes, limaces et désordre sur leur passage» (p. 51).
«Grand-maman l’attend, et le malheur aussi» (p. 79).
Catherine Lalonde, la Dévoration des fées, Montréal, Le Quartanier, «série QR», 112, 2017, 136 p.
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(Une définition du zeugme ? Par là.)
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Succulent !
Je vous en ai trouvé un la semaine dernière dans un abribus de Montréal :
L’Université de Montréal et de Christiane
qui inscrit la mémoire des siens dans l’avenir.
Avec changement de couleur entre les deux segments, sans virgule après Christiane.
Avec une belle photo de la principale intéressée, entourée de beaux objets des Premières Nations.
L’ensemble est beau et rassembleur.