«À leur retour des Îles-de-la-Madeleine, la petite Limoilou et Marine partagèrent leur temps entre le chalet, où nous avions fait des provisions et un grand ménage, et le Vieux-Québec, où les spectacles et les amuseurs publics étaient encore nombreux en cette fin d’août.»
Jacques Poulin, l’Homme de la Saskatchewan. Roman, Montréal et Arles, Leméac et Actes Sud, 2011, 120 p., p. 96.
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J’ai lu ce roman la semaine dernière en me disant que l’Oreille pourrait l’évoquer un certain dimanche. Je dois être trop assidu à ce blogue.
«Trop assidu» ? Non. Quand on aime, on ne compte pas.