Les zeugmes du dimanche matin, de Christine Eddie…

Christine Eddie, les Carnets de Douglas, 2007, couverture

…et de @ljodoin (merci).

Christine Eddie, les Carnets de Douglas, Québec, Alto, 2007, 198 p.

Guidés par l’odeur de pactole qui se terrait sous le moindre signe de rationnement, ils se lancèrent dans un marché noir d’aliments, brassèrent de la bière, et surtout, des affaires.

Christine Eddie, Je suis là, Québec, Alto, 2014, 150 p.

Avec ses quatre-vingt-douze ans, son excellente santé et son fauteuil roulant, Arthur a toutes les chances de remporter le titre de doyen à vie de notre immeuble.

Mon père manie le marteau, la scie et la grandeur d’âme avec la dextérité d’un artiste.

Avant de devenir une ville de six milles habitants l’hiver et de trente-mille adeptes de la crème solaire en juillet et août, Shédiac a été une plaque tournante du transport tous azimuts.

Écoute, Angèle. S’il n’en avait tenu qu’à moi, Évangéline et Gabriel n’auraient jamais été déportés. Ils auraient vécu heureux avec une demi-douzaine d’enfants, des légumes à faire pousser dans leur jardin et quelques chicanes de couple comme tout le monde.

 

(Une définition du zeugme ? Par .)

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