Le romancier Jean-François Vilar est mort le 16 novembre; la nouvelle a été rendue publique hier.
L’Oreille tendue a pas mal écrit sur son œuvre, qu’elle admire. Ici, voir, par exemple :
un éloge de Bastille tango (1986);
un commentaire bref du même roman;
un zeugme tiré de C’est toujours les autres qui meurent (1982).
On lui rend hommage sur le Web.
Sur le blogue 813 (qui, le premier, a annoncé la nouvelle de sa mort)
Sur Passage Jean-François Vilar
À Télérama
Sur le blogue Quelques nuances de noir (le Monde)
Chez Edwy Plenel
Chez Pierre Maury
Sur le blogue Je crois qu’un jour
Sur le site de la revue les Libraires
Sur le blogue des lecteurs de la Bibliothèque nationale de France
Chez remue.net
Les Éditions du Seuil venaient de rééditer son dernier roman, Nous cheminons entourés de fantômes aux fronts troués (1993).
Enfin, voici trois comptes rendus, par l’Oreille, de romans de Vilar :
Passage des singes (Spirale, 47, novembre 1984, p. 10);
Djemila (Spirale, 85, février 1989, p. 15);
les Exagérés (Spirale, 89, été 1989, p. 14).
[Complément du 29 janvier 2022]
L’Oreille a repris son texte sur les Exagérés dans le livre qu’elle a fait paraître au début de 2020, Nos Lumières.
Référence
Melançon, Benoît, Nos Lumières. Les classiques au jour le jour, Montréal, Del Busso éditeur, 2020, 194 p.
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Merci cher Benoit de votre fidélité à JFV.
Je relis votre éloge de Bastille Tango et l’apprécie toujours autant.
Amitiés lointaines.
Corsaire Sanglot (du Passage)