«Je lisais, donc. Dans l’autobus, dans mon coin de la cour de récréation, dans les maisons où on me trimbalait, aux toilettes et dans mes insomnies» (p. 20).
«S’ils débusquaient un homme dans sa vie ou dans son appartement sans avoir été prévenus, ça compromettrait le retour de ses enfants» (p. 50).
«J’ai laissé ma mère abandonner ses résistances et sa petite culotte […]» (p. 92).
«Bonne idée d’aller travailler. Ça m’a remonté le moral et le budget» (p. 136).
«Et s’il avait la très mauvaise idée de m’attaquer, j’exécuterais ma menace et lui-même» (p. 150).
«Elle m’embrassait avec beaucoup de passion et de langue» (p. 168).
«J’en étais à ce stade de constatation, fomentant l’idée de l’inviter à prendre un verre et son pied» (p. 183).
«De toute manière, je devais reprendre contact avec elle, en personne et en vitesse» (p. 200).
David Goudreault, la Bête à sa mère, Montréal, Stanké, 2015, 231 p.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
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