«Il était effrayant, cet animal, à rire continuellement tout seul, comme si sa profession l’égayait. Même, quand il avait fini son sabbat et qu’il tombait sur le dos, il ronflait d’une façon extraordinaire, qui coupait la respiration à la blanchisseuse. Pendant des heures, elle tendait l’oreille, elle croyait que des enterrements défilaient chez le voisin.»
Émile Zola, l’Assommoir, chronologie et introduction par Jacques Dubois, Paris, Garnier-Flammarion, coll. «G-F», 198, 1969, 445 p., p. 338-339.
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