«Dans l’ébranlement du train et du jour qui se lève, son visage s’éclaire, et ce qui était encore imperceptible lorsqu’elle s’est assise dans le wagon, dérobé, se révèle maintenant qu’elle a tourné la tête vers la vitre : quelque chose de rêveur et d’aride, quelque chose de solitaire.»
Maylis de Kerangal, Un monde à portée de main, Paris, Gallimard, coll. «Verticales», 2018, 288 p. Édition numérique.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
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