«haut-le-cœur gorge nouée relents de revenantes avaler comptines et couleuvres» (p. 63)
«fourrageais ma tête de tes doigts inquiets
tu y cherchais des lentes des tiques des puces
des idées de mauvais fille
forcément» (p. 107)
Marie-Hélène Voyer, Mouron des champs suivi de Ce peu qui nous fonde, Saguenay, La Peuplade, coll. «Poésie», 2022, 196 p.
(Une définition du zeugme ? Par là.)
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